Me voilà de retour après un excellent week-end en compagnie de mon cher et tendre. Le shopping a été peu productif, la seule chose que j'avais repéré était à peine soldé donc tant pis j'attends encore un peu parce que franchement malgré la crise les magasins se moquent un peu du monde. Bref il n'y a pas mort d'homme, vous n'aurez juste rien de neuf à vous mettre sous la dent. Quoique en y réfléchissant bien il y a pas mal de choses que je ne vous ai pas encore montré. Il va falloir mettre un futur week-end à contribution pour faire de nouveaux clichés.

Sinon quoi vous racontez de neuf, j'ai un peu l'impression de vivre à 100 à l'heure depuis que j'ai commencé mon nouveau boulot. Non qu'il soit particulièrement stressant, mais je suis toujours harponné par la demande de l'une ou de l'autre. Difficile de se concentrer sur une seule tache mais par chance j'arrive à bosser même avec beaucoup de bruit et de demande. Et puis après je filtre les infos parce que je vous dis que les boulets on en retrouve partout. Et moi là j'en ai un bon de boulet. Pas méchant mais très chiant. Ca me change de mon ancien job où le boulet en plus d'être chiant était méchant. On est pas tous égal dans la vie c'est ce que je me dis quand elle me pose une question qui peut me sembler comme dire... con. Mais bon je veux pas la prendre en grippe, alors quand je la vois arriver je respire un grand coup et je dégaine mon plus beau sourire. Sinon avec les autres collègues tout se passe bien pour le moment, on y retrouve de tout: la boute en train, la mère de famille posée, celle qui sort des étdes et qui est tout feu tout flamme, la fille qui se donne un air introverti et qui quand on gratte un peu se lâche très rapidement: une carapace en somme. Et voilà au milieu de tout ce monde il y a moi. Qui au final évolue comme un poisson dans l'eau. Bon hier matin j'étais pas fière c'était ma première demi-journée réellement seule et mon ventre me la rappelé. Anxieuse je suis anxieuse je reste.

Et le blog dans tout ça et bien je suis contente de pouvoir vous y racontez tout cela, ma nouvelle vie, mes nouveaux bonheurs. Pendant longtemps il a été un défouloir où j'y écrivais plus mes états d'âme que mes bonheurs. Je change un peu de registre. J'espère ne pas vous lasser.